jeudi 15 avril 2010

Sans soleil 4 : A force de filmer les fantômes, on risque d'en devenir un soi-même.

Se perdre parmi les fantômes du métro, dans les rêves de Tokyo.

" Toutes les galeries aboutissent à des gares, les mêmes compagnies possèdent les magasins et le chemin de fer qui porte leur nom, Keio, Odakyu, ces noms de ports. Le train peuplé de dormeurs assemble tous les fragments de rêve, en fait un seul film, le film absolu. Les tickets du distributeur automatique deviennent des billets d’entrée. "









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