mercredi 9 mars 2011

Dharma Guns : cinéma de l'éther



Pour suivre l’errance somnambulique de son héros, dans cette interzone qui n’est ni la vie ni la mort, Ossang retrouve les substances gazeuses, presque immatérielles, du Vampyr de Dreyer et les iris de Murnau qui sont déjà comme l’emprise des ténèbres sur les hommes. D’ailleurs, comment mieux rendre hommage à l’auteur de Nosferatu sinon par la voix d’outre-tombe de Lux Interior, le chanteur défunt des Cramps, reprenant l’envoûtant standard Taboo ?

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