On doit à Shuji Terayama le scénario de
Premier amour,
version infernale (
Hatsukoi Jigokuhen, 1968) de Susumu Hani. L’enfance du jeune
garçon, balloté par une mère qui l’abandonne et le récupère sans cesse, est celle
de Terayama lui-même. Il fait d’ailleurs une brève apparition dans le rôle d’un
amant de la mère, un boxeur bien sûr.
La mère est le premier amour, forcément infernal.
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