dimanche 17 juin 2012

Un caméo de Shuji Terayama

On doit à Shuji Terayama le scénario de Premier amour, version infernale (Hatsukoi Jigokuhen, 1968) de Susumu Hani. L’enfance du jeune garçon, balloté par une mère qui l’abandonne et le récupère sans cesse, est celle de Terayama lui-même. Il fait d’ailleurs une brève apparition dans le rôle d’un amant de la mère, un boxeur bien sûr.

La mère est le premier amour, forcément infernal.


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