Au programme des prochains jours : des yakuzas sans code d’honneur, Koji Yakucho dédoublé, des collégiens hantés, des salarymen dépressifs, la do-re-mi-fa girl, des dieux-arbres, un assassin hypnotiseur, le gardien de l’enfer, une momie japonaise, des agents d’assurance possédés, des fantômes en robe rouge, des fantômes désarticulés à la glaciale beauté, des fantômes flous mais que l’on peut saisir, des fantômes de fillettes - ceux là sont les plus tristes, et les belles méduses du fleuve de Tokyo.
Nous nous rappelerons les mots définitifs de Chris Marker dans Sans soleil :
« Les films d’épouvante japonais ont la beauté sournoise de certains cadavres. »
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