Il y a au Japon une vraie culture des bouquinistes, que ce soit dans les chaînes comme Mandarake (idéal pour dénicher des mangas d'horreur des années 80), Book-off et des quartiers comme Nakano ou Jimbocho.
C'est un plaisir de passer des heures à feuilleter des revues d'avant-garde des années 60/70, et mesurer combien l'underground japonais était vivace.
Les mises en page sont toujours splendides, ce qui est encore le cas aujourd'hui.
On trouve aussi des "pamphlets", ces livrets - souvent luxueux - vendus aux spectateurs à la fin des séances (une tradition qui a existé en France et qui perdure au Japon). Il y en a des centaines, dont les prix varient entre 100 et 500 yens (entre 1 euros et 5 euros) pour les films des années 70 et 80 (de Dario à Carpenter en passant par Evil Dead et Mad Max, l'amateur de fantastique à de quoi devenir fou).
C'est un plaisir de passer des heures à feuilleter des revues d'avant-garde des années 60/70, et mesurer combien l'underground japonais était vivace.
Les mises en page sont toujours splendides, ce qui est encore le cas aujourd'hui.
On trouve aussi des "pamphlets", ces livrets - souvent luxueux - vendus aux spectateurs à la fin des séances (une tradition qui a existé en France et qui perdure au Japon). Il y en a des centaines, dont les prix varient entre 100 et 500 yens (entre 1 euros et 5 euros) pour les films des années 70 et 80 (de Dario à Carpenter en passant par Evil Dead et Mad Max, l'amateur de fantastique à de quoi devenir fou).
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